Internationalisation & décentralisation
Pouvoir s'adapter aux spécificités juridiques locales
Pouvoir mutualiser des jeux de données (registres des auteurs ou des communs)
Avoir une architecture d'information décentralisée
Pourquoi anticiper une approche internationale ?
Les contraintes de la production de communs numériques
- Les communs numériques peuvent être développés partout dans le monde.
- Les commoners contribuant à un même commun peuvent eux-mêmes être basés dans des pays différents.
- Les contributeurs financiers aux communs peuvent également être basés dans des pays différents.
- Un OGC est nécessairement basé juridiquement dans un pays, le statut juridique d'un OGC peut donc être différent d'un pays à l'autre (fondation, trust, association, fiducie...).
- Un OGC n'a pas forcément vocation - ou la capacité - à traiter l'ensemble des communs au niveau mondial, il est plus réaliste d'envisager qu'un OGC ait un ancrage territorial et/ou sectoriel précis.
Il est donc nécessaire que tous les OGC partout dans le monde puissent partager des registres communs pour éviter les doublons et les incohérences juridiques : registre des communs, registre des commoners, montants des contributions financières, allocations des sommes vers les communs et les commoners...
Architecture décentralisée
Il serait envisageable - voire plus réaliste - qu'il existe plusieurs OGC répartis partout dans le monde, et/ou différents OGC "spécialisés" sur certaines verticales (secteur industriel, language de programmation, ...)
Pour qu'un tel système fonctionne à l'échelle internationale l'infrastructure d'information doit être partagée, tout en permettant à chaque OGC de gérer son propre corpus de données.
Techniquement il serait possible de proposer à tous les OGC un outil numérique libre de gestion basé sur ActivityPods afin de pouvoir à la fois décentraliser le stockage des données, tout en permettant à chaque instance de gérer ses propres jeux de données.